« La sécurité n’est pas le fruit du hasard ; elle exige une pratique délibérée et une attention inébranlable. »
– Adapté d’un document de réflexion sur la psychologie organisationnelle
Faire de la réflexion un processus continu
La sécurité psychologique n’est pas une réalisation ponctuelle, c’est un processus continu.
Encouragez les comptes rendus réguliers afin de maintenir les canaux de communication ouverts.
Après chaque étape importante du projet, posez-vous la question suivante : « Qu’est-ce qui nous satisfait? et que voulons-nous améliorer? »
Traiter rapidementles violations
Lorsque la sécurité psychologique est rompue, une conversation rapide et honnête permet de rétablir la confiance.
Les problèmes non résolus s’enveniment, il faut donc s’y attaquer rapidement et de front.
Célébrer la prise de risque constructive
Récompensez et soulignez les scénarios dans lesquels quelqu’un a essayé quelque chose de nouveau, même si cela n’a pas fonctionné parfaitement.
La reconnaissance réduit la peur de l’ échec et stimule l’innovation.
Pendant les réunions d’équipe, proposer un « gesteaudacieux de la semaine » à quelqu’un qui a expérimenté ou partagé une nouvelle idée.à quelqu’un qui a expérimenté ou partagé une nouvelle idée.
Encourager l’auto-divulgation
Selon Brené Brown, la vulnérabilité est la clé d’une connexion plus profonde.
De petits actes de divulgation de soi donnent un ton d ‘ ouverture et de sécurité émotionnelle.
Mesurer ouvertement la sécurité psychologique
Utilisez des enquêtes ou des sessions de feedback ouvertes pour évaluer le sentiment de sécurité des personnes.
Le suivi des progrès permet de s’assurer que les initiatives restent efficaces et pertinentes.
Posez la question suivante : « Sur une échelle de 1 à 10, dans quelle mesure vous sentez-vous à l’aise pour aborder un sujet sensible ici ? » et adaptez vos stratégies en fonction des réponses.
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