« Ce que l’information consomme est assez évident : elle consomme l’attention de ses destinataires. »
– Herbert A. Simon
Le principe du travail en profondeur
Le Deep Work de Cal Newport souligne que la concentration intense dans des intervalles sans distraction permet de réaliser des percées.
Le travail superficiel (vérification des courriels, petites tâches) érode notre capacité à nous plonger dans une réflexion complexe.
Flowtoestand fenomeen
Les recherches de Mihaly Csikszentmihalyi montrent que l’expérience est optimale lorsque le niveau de compétence correspond au niveau de défi, ce qui conduit à une immersion totale.
Cet état de « fluidité » maximise la productivité et le plaisir.
Effet Zeigarnik
L’effet Zeigarnik suggère que les tâches inachevées s’attardent dans l’esprit et drainent l’énergie mentale.
Le fait de s’attaquer proactivement aux tâches, même partiellement, réduit l’encombrement mental et préserve la concentration.
Pénalité cognitive de commutation
Les changements fréquents de tâches prélèvent un tribut cognitif. Chaque changement d’orientation peut épuiser les ressources mentales, entraînant des erreurs et une baisse d’efficacité.
La réduction des commutations contextuelles permet une plus grande concentration.
Monotâche plutôt que multitâche
La recherche montre que le multitâche est souvent un changement de tâche déguisé.
La monotâche – se concentrer sur une seule chose à la fois – améliore l’attention et la qualité des résultats.
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